Au jour le jour, les petits évènements du quotidien. Day by day, small daily events. Von Tag zu Tag, die kleinen Ereignisse der Tageszeitung. Día a día, pequeños eventos diarios. Di giorno in giorno, piccoli eventi del quotidiano. Dia a dia, pequenos eventos do diário. Со дня на день, маленькие события ежедневной газеты. (…/…) Only in French, sorry :^)
Dans la vie, il faut faire avec ce qu’on a, souvent. La prononciation de mes initiales (« YP ») en anglais, ça fait « why pee ? » (« pourquoi faire pipi ? »), sans compter que la prononciation de mon prénom (« Yves »), pour les anglophones c’est « Ève », la femme d’Adam, j’ai découvert ça en 2012, quand je suis venu à Cotonou par la route.
Depuis, quand je suis chez des anglophones et qu’on me demande mon prénom, je réponds « Paul », qui se prononce aussi « pol » en anglais.
apparemment, le test PCR d’hier n’a pas été concluant, je l’ai refait ce matin (en prioritaire), j’aurai le résultat ce soir à 18h, trop tard pour avoir le temps d’aller à l’aéroport avant l’heure limite d’enregistrement : le trajet coûte relativement cher, je ne peux pas y aller « au cas où », quitte à devoir revenir si « où » est positif (j’ai chopé le Covid), ce qui serait négatif pour moi et m’empêcherait de monter dans l’avion, et même d’entrer dans l’aérogare, en fait.
je n’y avais pas réfléchi avant, mais le Covid introduit chacun de nous dans une espèce de pièce de théâtre ubuesque où notre situation est positive quand le test (PCR) est négatif, et négative quand le test est positif.
si je savais suffisamment noyer le poisson pour raconter ça en 500 mots (ou 500 pages), ça pourrait faire un article de blog (ou un bouquin), mais pas de pot : 35 ans de développement logiciel m’ont plutôt enseigné à pratiquer la quintessence du contraire de l’éloquence, et donc éloigné de l’art du blabla (qui ne sert pas juste à noyer le poisson, mais aussi à arrondir les fins de mois, quand l’auteur est payé au mot).
En ce moment, j’ai un coup de blues, Leeds me manque. Là où j’étais parti l’an dernier. J’avais trouvé un hébergement au campus universitaire situé Kirkstall Road, juste à côté de la caserne de pompiers, et comme d’habitude je suis tombé sur un problème (« humanitaire », suis-je tenté de dire), que j’ai pris en charge, sans rien demander à personne (ou presque), comme d’habitude, quoi.
J’ai juste demandé un coup de main aux pompiers de Kirkstall Road pour une chose, essayé de contacter la direction du groupe ACCOR au Royaume-Uni (le « General Manager », by the way) pour deux autres.
Je n’ai pas franchement réussi. Mon interlocuteur chez les pompiers de Kirkstall Road m’a (apparemment) fourni une fausse identité (ultra simple à faire), avant de repartir vers un autre lieu et d’autres missions, comme Lucky Luke sur son cheval blanc, m’a-t-on informé.
Et je n’ai pas réussi à contacter le groupe ACCOR (le « General Manager » pour le Royaume-Uni, faut dire), ni directement, ni par l’entremise du président du CIPB à Cotonou, que je connaissais un peu, ayant travaillé pour lui il y a quelques années.
Parfois, c’est tellement, tellement, tellement simple d’aider des gens en détresse que je ne comprends pas que tout le monde ne retrousse pas les manches pour le faire.
Je ne demande jamais rien pour moi. La preuve ? Là, je viens de finir de dépenser l’héritage de mon papa, presque cent mille euros en quatre ans. Ok, j’en ai utilisé un peu pour moi (« gaspillé », diraient certains). Mais la majorité, c’était pour aider d’autres personnes. Sans rien demander en échange.
Pourquoi est-ce que je vous raconte tout ça ? Un coup de blues. Ma 3ème pinte, même à 4 degrés, ça finit par chiffrer. Un brouillon pour mon prochain article sur l’un ou l’autre de mes blogs ? Maybe. Perhaps. ¿Quien sabe?
Now, I really believe that « birds of no nation » have a new voice for singing.
For as much as I feel myself as a bird of no nation, despite I am not a woman, I plead guilty as a human being, so I choose Shamsia Hassani as my voice. When all women worldwide will be safe …
PS: Sorry for my English: I have lost the password for my my English-written blog, « ftpo.vivaldi.net ».
J’ai découvert il y a quelques jours l’existence de cette artiste, qui contribue à redorer (dans mon esprit) l’image des femmes afghanes, que j’imaginais encore empêtrées dans leurs voiles, malgré le départ des talibans et l’arrivée des américains.
L’actualité récente a changé la donne, avec le départ des américains et le retour des talibans, et l’image fausse que je me faisais de la condition féminine en Afghanistan pourrait bien redevenir d’actualité.
Plutôt que de vous assommer de discours, je préfère vous convier à visiter le site web de Shamsia Hassani, via le lien ci-dessous :
Bon, ben on est le 14 août, demain c’est le 15 août, fête de la vierge, et j’en suis toujours au même point : incapable d’aller à Douala. Ni à Cotonou, ni à Lomé. Ni même à Dakar, en principe plus proche, d’où je pourrais aller à pied à ma destination, Douala, en y mettant un peu de temps mais sans risquer de me noyer (dans la Méditerranée, notamment) : parce que je ne sais pas nager. C’est bête, hein ?
Une grande partie de la ville ressemble à ça : des immeubles aux accès condamnés, enclos derrière des grilles dues aux travaux qui se poursuivent dans les rues.
À Leeds, au moins, il n’y a pas de chômage pour les employés de la voirie !
Le confinement se poursuit sans excès : je suis libre d’aller où je veux, tant que je respecte les règles de distanciation sociale. Dans la pratique, je sors à peu près un jour sur deux, pour aller faire quelques courses par le chemin des écoliers : essentiellement fruits et légumes frais à Kirkgate Market, San Pellegrino et autres produits dans divers supermarchés des environs, pour varier les trajets.
C’est un peu fatigant de répéter sans cesse — ou cent milliards de fois — la même chose, alors je vais le mettre par écrit, au cas où quelqu’un me lirait, chez Google, Amazon et similaires et/ou concurrents.
J’accepte les cookies fonctionnels, mais pas ceux qui sont liés à la publicité ciblée, PARCE QUE JE M’INTÉRESSE À TOUS LES SUJETS (sauf les ballets roses, néanmoins).
Je peux aimer les papillons et la clarinette, celà ne me prédispose pas à me cantonner à ces seuls sujets. J’aime aussi les batucadas à m’en faire sauter les tympans, mais pas chaque jour — à d’autres moments je peux aimer le silence aussi. Ou Luka Šulić & Stjepan Hauser, ou Lindsey Stirling et World Order. Et tant d’autres …
En fait, la plupart du temps, je préfère le silence, si rare … Si lent, celui-là.
Et c’est ainsi pour tous les sujets : je suis ÉCLECTIQUE, comme on dit dans notre doulce France, et ECLECTIC chez les anglophones, si la traduction n’est pas un faux ami, qui vous poignarde dans le dos tout en vous faisant un croche-pied — ce qui fait qu’il se poignarde lui-même, en vous ratant.
Mais je diserte, là, je m’éloigne du sujet. Restons disserts, et ne nous fions pas aveuglément à Google qui semble avoir du mal avec mon orthographe, tout à coup. Bon, d’accord, j’utilise parfois des mots qui ne sont plus d’usage courant, remettons-les à l’honneur plutôt que de courber le front sous la férule de la fée électricité et de Google confondus, à la fois mauvais maîtres et mauvais serviteurs (eux, pas moi).
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Allez, tiens, je me fais plaisir : essayez ce lien, ou celui-ci, sur Youtube, vous m’en direz des nouvelles. Et faites-vous plaisir : montez le son … mais pas au milieu de la nuit dans un appartement en ville — plutôt au milieu du désert, dans votre voiture, vitres ouvertes !!!
Le coronavirus risque de balayer la race humaine si on ne fait pas attention, et pourtant j’ai l’impression qu’il est notre ami.
La pollution a diminué depuis qu’il est là, les avions ont cessé de voler à vide, les trains de rouler à vide, les usines contraintes à l’arrêt ne polluent plus, and so on.
De mon côté, je suis en Angleterre depuis le lundi 9 mars, à Leeds au nord-est de Manchester, j’étais venu pour améliorer mon anglais et je suis tombé amoureux de la ville au premier coup d’œil, je n’ai plus envie de partir.
Je ne serais pas reparti en France de toute façon : j’avais envie de visiter l’Europe profonde (Roumanie et Bulgarie, notamment), et prendre ma retraite au Ghana, plus tard (je suis retraité depuis un peu plus d’un an), je peux peut-être encore faire tout ça en habitant ici.
Je possède deux (2) appareils, un smartphone Huawei sur lequel Flightradar24 est installé (et payé pour un an), et une tablette Huawei sur laquelle l’appli n’est PAS installée.
Et vous m’envoyez un message sur la tablette me signalant que ma période d’essai du logiciel expire dans deux jours …
Vous savez (ou pas, sans doute), je fais de l’informatique depuis 35 ans (depuis 1985, si vous préférez), parmi lesquelles j’ai travaillé dix ans pour Burlington Air Express (BAX, une compagnie américaine, filiale du groupe Pittston), puis trois ans pour Electronic Data System (EDS, une autre compagnie américaine) : si j’avais travaillé comme vous, je n’aurais pas duré aussi longtemps !!!
Chez BAX, j’avais la charge des HP-3000 (de Hewlett-Packard, matos et constructeur américain), et chez EDS, j’ai travaillé sur HP-9000 (la gamme Unix du même Hewlett-Packard), et en ces temps bénis, l’informatique servait à gagner du temps, pas à en perdre comme aujourd’hui.
Je milite pour que d’autres constructeurs, NON AMÉRICAINS, sortent de l’ombre et remettent les pendules à l’heure, parce que, savez-vous ?
… et ce serait bien que quelqu’un de chez Google lise mon blog, parce que franchement, vous devenez pénibles, les mecs.
Franchement !
Je m’explique : je prépare un voyage au Royaume-Uni, à Londres pour commencer, et donc j’ai envie de potasser un peu le plan du coin (retrouver les endroits où j’ai cheminé en 2014, and so on), donc j’ai installé ‘Fake GPS Location’ sur mon smartphone, où je lui indique l’endroit à partir duquel je compte rayonner, Saint Pancras Station, l’arrivée du train de Paris.
Mais Google, malin, me rétorque : “ah ah, mais cher monsieur, vous n’êtes pas à Londres mais à Vierzon !” et s’obstine à me localiser là où je suis physiquement, à quelques mètres près (l’aubette de bus quand je suis at home, Au Bureau ou au restaurant Toquenelle où je pratique Internet, and so on).
Je sais bien, crétin (petit nom d’amitié que je donne à Google) que je suis à Vierzon, mais je n’ai pas besoin de toi pour connaître mon quartier (depuis cinq ans que j’y chemine !), par contre je connais moins bien le cœur de Londres, donc j’essaie d’en potasser le plan.
Que nenni, macache ! Google ne voit pas les choses à ma manière, et s’obstine à me pourrir la vie, au point que j’en arrive à me demander si ce ne serait pas Donald Trump qui m’en voudrait personnellement, là (du fait que je me considère comme un migrant dans l’âme, et tout le monde connaît la haine du susdit pour les migrants).
Bref, si Google me lit (hypothèse très improbable, mais je peux me tromper) : et si vous faisiez en sorte, parfois, que nos ordinateurs (à la caste desquels nos smartphones appartiennent) fassent ce qu’on leur demande, au lieu d’essayer à tout prix de nous démontrer ce qu’est leur intelligence ?
Vieux lecteur d’Isaac Asimov, j’ai un immense respect pour les trois lois de la robotique (et l’homme bicentenaire, à qui je serrerais la louche sans gêne, fier de l’accueillir en nos rangs), mais Android a encore du chemin à faire pour être admis dans mon cénacle, les mecs !
Le cirque Zavatta est resté quelques jours chez nous, sur le parking camion de l’Orée de Sologne, la zone commerciale au nord de la ville.
Je n’étais pas allé au cirque depuis un demi-siècle ou plus, pourtant je n’y suis pas allé. La fois prochaine, peut-être ?
Peut-être qu’en grandissant j’ai perdu le goût des animaux en cage — ce n’est pas un jugement de valeur, juste un désintérêt grandissant pour de plus en plus de sujets, l’âge venant.
C’est bête à dire, mais je suis à la recherche du point de vue où j’ai pris cette photo.
Je retrouve bien le beffroi, la tour carrée crénelée et les huit cornes de brume, ou cornets de sirène, mais la composition globale, macache : je suis incapable de retrouver l’endroit précis où j’ai pris cette photo.
Parce que j’aime beaucoup cette composition, en fait, et j’aurais aimé tester mes différents objectifs avec elle …
Je suppose que comme toujours, je retrouverai cet endroit quand je ne le chercherai plus — et que je n’aurai pas ce qu’il faut avec moi pour (re)prendre cette photo !
Cette fois, je suis équipé ‘a minima’ en quantité, ‘a maxima’ en capacité, si c’est bien ainsi que l’on dit.
Il y a 15 jours, j’avais appris l’existence d’un zoom Olympus 14-150mm tropicalisé (en réalité, seulement “splash proof”, très suffisant pour mes besoins), de nature à remplacer mes zooms 14-42 et 40-150 pour l’encombrement du 40-150 seul. Cela m’intéressait parce que je n’ai pas encore trouvé mon sac photo idéal, que mon sac actuel est petit, et que pour tout y loger je dois faire des empilages d’objectifs dangereux pour leur santé.
J’ai fait quelques recherches sur Internet, Amazon France m’a vite repéré pour me le proposer (en neuf) à 758€, franchement hors budget pour moi.
Par contre, un peu après, je l’ai trouvé à 288€ (neuf également) sur Rakuten, d’un vendeur anglais (2ème fois que j’ai le cas), donc j’ai sauté dessus. Parti le 11 de Hong-Kong, il est arrivé ce matin, je l’ai trouvé dans ma boîte aux lettres en rentrant d’internet (je vais pagayer sur la toile un peu loin, ces temps-ci).
Maintenant j’arrête les achats (en attendant l’objectif 150-400mm petit budget espéré pour l’an prochain, le trépied pour la fin de l’année, et un flash sérieux dès que j’aurai le sac qui va bien) : avec le Panasonic 7-14mm et l’Olympus 14-150mm reçu ce matin, je dispose d’une couverture correcte qui entre juste dans mon sac photo, où je n’ai même plus la place de glisser le tout petit flash vendu avec l’appareil, flash que je n’utilise pas de toute façon (c’est encore un apprentissage à faire).
Ce zoom 14-150mm ressemble beaucoup à celui qu’Olympus monte désormais en kit sur ses nouveaux boîtiers, tels l’OM-D E-M5 Mk3 sorti ce matin également, d’où le prix très raisonnable dont j’ai bénéficié, en le commandant à la source. (Je dis ça au cas où quelqu’un voudrait s’équiper, les appareils Micro Quatre Tiers font des belles photos).
Et le côté “splash proof” me libère de l’obligation d’emporter mon X-T1 (qui a son sac à dos personnel, n’allez pas croire que je le néglige) partout pour les photos de vacances sous la pluie.
Ça, ça va me soulager les vertèbres !
Outre que faire des allers/retours incessants entre le MFT et l’APS-C, Olympus et Fujifilm, c’était bonjour les migraines :^(
Maintenant, je vais pouvoir me consacrer au PEN-F.