Le retour au bercail, c’est pas gagné !

apparemment, le test PCR d’hier n’a pas été concluant, je l’ai refait ce matin (en prioritaire), j’aurai le résultat ce soir à 18h, trop tard pour avoir le temps d’aller à l’aéroport avant l’heure limite d’enregistrement : le trajet coûte relativement cher, je ne peux pas y aller « au cas où », quitte à devoir revenir si « où » est positif (j’ai chopé le Covid), ce qui serait négatif pour moi et m’empêcherait de monter dans l’avion, et même d’entrer dans l’aérogare, en fait.

je n’y avais pas réfléchi avant, mais le Covid introduit chacun de nous dans une espèce de pièce de théâtre ubuesque où notre situation est positive quand le test (PCR) est négatif, et négative quand le test est positif.

si je savais suffisamment noyer le poisson pour raconter ça en 500 mots (ou 500 pages), ça pourrait faire un article de blog (ou un bouquin), mais pas de pot : 35 ans de développement logiciel m’ont plutôt enseigné à pratiquer la quintessence du contraire de l’éloquence, et donc éloigné de l’art du blabla (qui ne sert pas juste à noyer le poisson, mais aussi à arrondir les fins de mois, quand l’auteur est payé au mot).