Mes choix en Cookies

C’est un peu fatigant de répéter sans cesse — ou cent milliards de fois — la même chose, alors je vais le mettre par écrit, au cas où quelqu’un me lirait, chez Google, Amazon et similaires et/ou concurrents.

J’accepte les cookies fonctionnels, mais pas ceux qui sont liés à la publicité ciblée, PARCE QUE JE M’INTÉRESSE À TOUS LES SUJETS (sauf les ballets roses, néanmoins).

Je peux aimer les papillons et la clarinette, celà ne me prédispose pas à me cantonner à ces seuls sujets. J’aime aussi les batucadas à m’en faire sauter les tympans, mais pas chaque jour — à d’autres moments je peux aimer le silence aussi. Ou Luka Šulić & Stjepan Hauser, ou Lindsey Stirling et World Order. Et tant d’autres …

En fait, la plupart du temps, je préfère le silence, si rare … Si lent, celui-là.

Et c’est ainsi pour tous les sujets : je suis ÉCLECTIQUE, comme on dit dans notre doulce France, et ECLECTIC chez les anglophones, si la traduction n’est pas un faux ami, qui vous poignarde dans le dos tout en vous faisant un croche-pied — ce qui fait qu’il se poignarde lui-même, en vous ratant.

Mais je diserte, là, je m’éloigne du sujet. Restons disserts, et ne nous fions pas aveuglément à Google qui semble avoir du mal avec mon orthographe, tout à coup. Bon, d’accord, j’utilise parfois des mots qui ne sont plus d’usage courant, remettons-les à l’honneur plutôt que de courber le front sous la férule de la fée électricité et de Google confondus, à la fois mauvais maîtres et mauvais serviteurs (eux, pas moi).

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Allez, tiens, je me fais plaisir : essayez ce lien, ou celui-ci, sur Youtube, vous m’en direz des nouvelles. Et faites-vous plaisir : montez le son … mais pas au milieu de la nuit dans un appartement en ville — plutôt au milieu du désert, dans votre voiture, vitres ouvertes !!!

Gag en couleur (bis)

Entre-temps, j’ai trouvé un début de réponse — et le moyen de parvenir à photographier cette couleur récalcitrante.

La réponse est sur mon blog en anglais, désolé pour les francophones pur jus — dont je fais encore partie moi-même, de temps en temps : je suis un anglophone à éclipse.

J’ai eu de la chance, sans aucun doute. Avoir un peu de chance de temps à autre ne nuit pas : c’est bon pour le moral, et donc pour la santé, in fine — certains se soignent par les plantes, moi j’essaie par la bonne humeur, imbattable niveau prix (sourire).

Maintenant, je n’ai plus qu’à perfectionner la technique !

Gag en couleur

Les engins de chantier de la ville de Leeds ont une couleur ‘fétiche’ : le vert émeraude, que mon appareil photo ‘restitue’ dans un bleu profond, bien loin de la couleur d’origine.

Ceci aussi bien dans le viseur électronique que sur la photo finale.

Au départ, bien sûr, j’ai pensé que mon appareil photo —un Olympus OM-D E-M5 Mark2 d’occasion, acquis peu de temps avant mon départ, et que je maîtrise encore mal— avait un problème de décalage de couleur, problème que j’ai reporté à plus tard, le temps d’y réfléchir un peu.

Et puis aujourd’hui, comme je passais à côté d’un de ces engins, j’ai eu l’idée de le photographier avec mon smartphone —un Huawei P30 doté d’un objectif arrière signé Leica, et qui fait des photos superbes— et le résultat est là : un bleu très beau, mais bien loin du vert émeraude d’origine.

L’engin en question

Vous y comprenez quelque chose, vous ? — Moi, non :^(

Franchement, Google sucks …

… et ce serait bien que quelqu’un de chez Google lise mon blog, parce que franchement, vous devenez pénibles, les mecs.

Franchement !

Je m’explique : je prépare un voyage au Royaume-Uni, à Londres pour commencer, et donc j’ai envie de potasser un peu le plan du coin (retrouver les endroits où j’ai cheminé en 2014, and so on), donc j’ai installé ‘Fake GPS Location’ sur mon smartphone, où je lui indique l’endroit à partir duquel je compte rayonner, Saint Pancras Station, l’arrivée du train de Paris.

Mais Google, malin, me rétorque : “ah ah, mais cher monsieur, vous n’êtes pas à Londres mais à Vierzon !” et s’obstine à me localiser là où je suis physiquement, à quelques mètres près (l’aubette de bus quand je suis at home, Au Bureau ou au restaurant Toquenelle où je pratique Internet, and so on).

Je sais bien, crétin (petit nom d’amitié que je donne à Google) que je suis à Vierzon, mais je n’ai pas besoin de toi pour connaître mon quartier (depuis cinq ans que j’y chemine !), par contre je connais moins bien le cœur de Londres, donc j’essaie d’en potasser le plan.

Que nenni, macache ! Google ne voit pas les choses à ma manière, et s’obstine à me pourrir la vie, au point que j’en arrive à me demander si ce ne serait pas Donald Trump qui m’en voudrait personnellement, là (du fait que je me considère comme un migrant dans l’âme, et tout le monde connaît la haine du susdit pour les migrants).

Bref, si Google me lit (hypothèse très improbable, mais je peux me tromper) : et si vous faisiez en sorte, parfois, que nos ordinateurs (à la caste desquels nos smartphones appartiennent) fassent ce qu’on leur demande, au lieu d’essayer à tout prix de nous démontrer ce qu’est leur intelligence ?

Vieux lecteur d’Isaac Asimov, j’ai un immense respect pour les trois lois de la robotique (et l’homme bicentenaire, à qui je serrerais la louche sans gêne, fier de l’accueillir en nos rangs), mais Android a encore du chemin à faire pour être admis dans mon cénacle, les mecs !

Catalina Tut Tut


Je suis passé à Catalina hier soir, Apple poussant très fort derrière.

Bon, 1ère impression : Apple se met de plus en plus à ressembler à Windows — problèmes divers et variés, ma clé 4G (Huawei E3372) ne fonctionne plus [de toute façon, le téléchargement de Catalina hier soir avait fini de consommer mon quota, il faut que j’attende le 21/10 pour remettre les compteurs à zéro], il faut prévoir 10 à 15 jours pour un OnyX actualisé (modif. de quelques réglages fins du Mac, dont changer l’héNAURme photo qui s’affiche au login par mon petit PNG préféré de 6 Ko), etc.

Et puis surtout, à tout propos il faut confirmer ceci cela, et un compte-rendu de la moindre opération est envoyé par mail, et patati patata … On perd de plus en plus de temps avec les logiciels qui viennent des USA, depuis quelques temps — guerre commerciale délibérée ou incompétence croissante des développeurs là-bas ? Vivement qu’Harmony OS (et quelques autres de la même eau) débarquent …

Sinon, la trilogie Affinity se lance sans souci, XnViewMP aussi, pour le reste je verrai au fur et à mesure. Par contre, CleanMyMac 3 ne fonctionne plus, j’ai dû passer à la version supérieure, avec antivirus et processus de surveillance en tâches de fond façon Windows (immédiatement désactivés l’un et l’autre : je suis rarement sur Internet), j’ai envoyé un mail à l’auteur pour protester, je suis très en colère, là !!!

Bref, pour tous ceux concernés à plus ou moins long terme, je dirais qu’il n’y a pas le feu : attendez 2 ou 3 mois, sauf urgence. Voire davantage, si vous pouvez — tant que ce ne sera pas obligatoire :^)

[article mis à jour le 11/10]

Un tramway nommé désir


Écrire un CV est tout un art, et j’en ai publié je ne sais combien en ligne, au fil des ans.

Pendant longtemps, il y a eu pléthore d’informaticiens, et les entreprises étant réputées privilégier les jeunes diplômés, moins chers et gavés de connaissances fraîches, je ne m’étonnais pas trop de mon peu de résultat dans mes recherches, qui me désolait.

Et puis, le 1er de ce mois, quelqu’un a actualisé mon email dans mon profil sur Cadremploi.

Je découvre tout à coup que mon CV cartonne, mais que mes coordonnées étant périmées depuis belle lurette, personne n’a jamais dû parvenir à me joindre.

Jusqu’à hier.

Une première entreprise m’a contacté hier, une seconde aujourd’hui.

La première m’ayant informé qu’elle avait lu mon CV sur un site nommé ‘jobard’, et présentant en outre une particularité inhabituelle, j’ai pensé ‘on me prend pour un pigeon’ : je l’ai mal reçue.

Le seconde semblait plus sérieuse.

Anyway, pour une fois que des recruteurs m’approchent, ça fait mal au cœur de refuser.

Pour être autorisé à prendre ma retraite l’an passé, j’ai dû m’engager par écrit à ne plus travailler. Je sais bien que j’ai un peu répondu à côté, mais quand même, il y a un risque que cet engagement m’engage.

Le montant de ma retraite, un poil en dessous du seuil de pauvreté, me convient.

Je développe mes propres scripts selon mes besoins, de petits bijoux (disent mes amis) où mon expérience de près de 35 ans du scripting est inestimable : je reste fidèle à POSIX et à Unix System 5, même sur le Mac.

Je me remet petit à petit à la photographie.

J’ai retrouvé de vieilles photos de ma jeunesse, des photos dont je suis absent : je devais être plus souvent avec un appareil dans les mains qu’à poser devant ceux des autres.

J’ai envie de penser à moi pour les quelques années lucides qu’il me reste.

Profiter de l’après-Brexit pour remettre mon anglais à niveau, puis aller faire un peu de trekking, partout sur la planète.

Et que l’on m’inhume là où je tomberai …

[article réécrit le 3 octobre 2019]

:^)

For Testing Purpose Only, my English blog

Langfocus on Youtube

Un regret que j’ai éprouvé ici dès le début, c’était de ne pas pouvoir installer qTranslate-X dans ce site.

qTranslate-X est un module pour WordPress qui permet de gérer simultanément plusieurs langues dans chaque article et chaque page.

Chaque langue possède son onglet, que l’on peut remplir ou non : aucune langue n’est obligatoire, mais chacune présente un ensemble cohérent : les pages et articles en anglais présenteront les dates formatées en anglais, en mode 12h AM/PM si paramétrées ainsi, celles en français les dates formatées en français, celles en portugais indiqueront que la semaine commence le dimanche (ce qui semble logique puisque le Lundi se nomme ‘segunda-feira’, ‘deuxième jour’), and so on.

Actuellement, on ne peut pas installer qTranslate-X ici. Donc je me suis créé un second blog, pour la langue anglaise : https://ftpo.vivaldi.net :^)

Parce que j’aime le Français ET l’Anglais, mais différemment : ce qui implique soit d’avoir un blog pour chaque langue, soit de pouvoir bien les séparer, la finalité étant de ne pas nécessairement y parler des mêmes sujets.

Parce que si je n’ai pas le même niveau en français et en anglais (étant French native), je n’ai pas non plus le même relationnel avec ces deux langues : le français est la langue de mon enfance, l’anglais la langue de mon métier — l’informatique — depuis bientôt 35 ans.

Parfois, l’une et l’autre s’interpénètrent et se mélangent : je n’ai pas honte de documenter mes scripts et programmes en ‘franglais’ — ‘frenglish’ dit-on, paraît-il, ‘en face’, de l’autre côté du Channel (du Chunnel ?) — mais généralement chacune se tient à sa place, et s’occupe de ses sujets …

[article réécrit le 1er octobre 2019]

:^)

Halte aux publicités dithyrambiques !

J’ai désactivé mon compte Facebook, en ne gardant actif que le canal Messenger, qui me permet de dialoguer avec quelques personnes qui me sont chères.

La Vierzonitude en action !

Calculer le coût énergétique de toutes les publicités dithyrambiques qui envahissent nos pages est au-delà de mes compétences, mais j’espère que quelqu’un s’y attaquera un jour. À l’échelle de la planète, je suis persuadé que cela représente des gigawatts annuels, si ce n’est pas chaque jour !

Mes blogs personnels (dont celui-ci, avez-vous remarqué ?) ont toujours été dénués de toute publicité, ce qui prouve que la chose est possible. Ce pourquoi j’ai décidé de tourner le dos aux sites qui participent à tour de bras au réchauffement planétaire, après eux le déluge, n’est-ce-pas ? Leurs auteurs iront tous se réfugier aux Bahamas, ou sur la Lune, tandis que les océans envahiront nos plages et nos greniers …

Rebellons-nous — pacifiquement, mais fermement : fermons nos yeux (et nos portefeuilles) aux sites qui abusent des publicités de plus en plus envahissantes (et souvent incongrues).

Dithyrambiques, quoi !