Le coin des photos. Le nom représente la prononciation du slug pour un français, en accentuant le T et le Z, d’où leur écriture en majuscule pour les distinguer :^)
C’est bête à dire, mais je suis à la recherche du point de vue où j’ai pris cette photo.
Je retrouve bien le beffroi, la tour carrée crénelée et les huit cornes de brume, ou cornets de sirène, mais la composition globale, macache : je suis incapable de retrouver l’endroit précis où j’ai pris cette photo.
Parce que j’aime beaucoup cette composition, en fait, et j’aurais aimé tester mes différents objectifs avec elle …
Je suppose que comme toujours, je retrouverai cet endroit quand je ne le chercherai plus — et que je n’aurai pas ce qu’il faut avec moi pour (re)prendre cette photo !
Cette fois, je suis équipé ‘a minima’ en quantité, ‘a maxima’ en capacité, si c’est bien ainsi que l’on dit.
Il y a 15 jours, j’avais appris l’existence d’un zoom Olympus 14-150mm tropicalisé (en réalité, seulement “splash proof”, très suffisant pour mes besoins), de nature à remplacer mes zooms 14-42 et 40-150 pour l’encombrement du 40-150 seul. Cela m’intéressait parce que je n’ai pas encore trouvé mon sac photo idéal, que mon sac actuel est petit, et que pour tout y loger je dois faire des empilages d’objectifs dangereux pour leur santé.
J’ai fait quelques recherches sur Internet, Amazon France m’a vite repéré pour me le proposer (en neuf) à 758€, franchement hors budget pour moi.
Par contre, un peu après, je l’ai trouvé à 288€ (neuf également) sur Rakuten, d’un vendeur anglais (2ème fois que j’ai le cas), donc j’ai sauté dessus. Parti le 11 de Hong-Kong, il est arrivé ce matin, je l’ai trouvé dans ma boîte aux lettres en rentrant d’internet (je vais pagayer sur la toile un peu loin, ces temps-ci).
Maintenant j’arrête les achats (en attendant l’objectif 150-400mm petit budget espéré pour l’an prochain, le trépied pour la fin de l’année, et un flash sérieux dès que j’aurai le sac qui va bien) : avec le Panasonic 7-14mm et l’Olympus 14-150mm reçu ce matin, je dispose d’une couverture correcte qui entre juste dans mon sac photo, où je n’ai même plus la place de glisser le tout petit flash vendu avec l’appareil, flash que je n’utilise pas de toute façon (c’est encore un apprentissage à faire).
Ce zoom 14-150mm ressemble beaucoup à celui qu’Olympus monte désormais en kit sur ses nouveaux boîtiers, tels l’OM-D E-M5 Mk3 sorti ce matin également, d’où le prix très raisonnable dont j’ai bénéficié, en le commandant à la source. (Je dis ça au cas où quelqu’un voudrait s’équiper, les appareils Micro Quatre Tiers font des belles photos).
Et le côté “splash proof” me libère de l’obligation d’emporter mon X-T1 (qui a son sac à dos personnel, n’allez pas croire que je le néglige) partout pour les photos de vacances sous la pluie.
Ça, ça va me soulager les vertèbres !
Outre que faire des allers/retours incessants entre le MFT et l’APS-C, Olympus et Fujifilm, c’était bonjour les migraines :^(
Maintenant, je vais pouvoir me consacrer au PEN-F.
La cathédrale Saint-Étienne de Bourges, photographiée à main levée au 7mm MFT (équivalent 14mm en 24×36). Pour la même version en 80 Mpx, il faudra attendre encore quelques mois — outre que cela risque d’outrepasser (et même probablement de très loin) le maximum auquel j’ai droit en taille d’images.
Anyway, je suis très satisfait de mon acquisition du zoom Panasonic Lumix 7-14mm F4.0, ainsi que de ma migration au Micro Quatre Tiers de l’été dernier dont l’intérêt se confirme de plus en plus :^)
Pour faire bref, je me suis offert un Olympus PEN-F Silver récemment, un appareil photo au look classique, mais élégant, et donc parmi les objectifs dont je l’ai équipé figure ce générateur d’effet ‘whaouuu’ (avec 3 ‘u’, oui).
N’ayant pas de sushi à ma disposition, je suis allé me faire les dents sur l’église Notre-Dame, une de mes cibles de prédilection avec le vieux beffroi.
Et là, je découvre l’effet ‘whaouuu’ : pour la première fois, l’église tout entière tient dans ma photo, et je n’étais qu’à quelques pas !
Y aurait-il eu un mariage, qu’en reculant de trois pas de plus, j’aurais eu l’église, les mariés sur le perron et la noce tout entière dans mon appareil !
Bon, d’accord, pour le cadrage j’ai encore des progrès à faire.
Si je vous dis que j’ai pris ces photos au cœur de Vierzon, me croirez-vous ? Entre les rives nord et sud de l’Yèvre ou du Cher, je ne sais pas très bien — là où les eaux se rejoignent, je ne sais plus les reconnaître !
Mais c’était derrière la balustrade …
Un peu à gauche de cet îlot :^)
PS : De temps en temps, je change ma photo d’en-tête, pour une encore plus belle. D’où le renommage de ce texte, lié à un en-tête défunt :^)
C’est quand même plus joli ainsi que la photo originelle (que vous ne verrez pas) où les murs latéraux avaient l’air de s’effondrer vers l’allée centrale. Non ?
Bien sûr, les zones noires ne sont pas très élégantes. Mais si je les rabote, l’image perd tout son sens !
Par contre, certains appareils (dont le mien, semble-t-il) possèdent une fonctionnalité nommée « Compensation trapézoïdale » : s’il s’agit bien de ce que je soupçonne, j’ai hâte de l’essayer !
Comme tout un chacun, mes photos de bâtiments ont tendance à être coniques, voire curieusement inclinés.
Je suis en train de tester DxO ViewPoint 3, qui coûte une cinquantaine d’euros, et dont le mode automatique est tout à fait bluffant.
Mode d’emploi :
a) ouvrir la photo dans DxO ViewPoint;
b) cliquer sur le bouton ‘auto’ de la perspective;
c) régler l’intensité de la correction avec le curseur (du groupe d’option Perspective).
Et c’est tout (sourire).
Personnellement, je désactive aussi le recadrage automatique, ce qui me permet de mieux juger le résultat. En effet, le recadrage a souvent pour effet d’enfermer le sujet dans un cadre étroit, voire d’en raboter certaines parties, donc l’opération de recadrage n’est pas forcément judicieuse.
La rue de la Monnaie, entre le beffroi et l’église Notre-Dame, à quelques pas de chez moi.
Le beffroi, c’est l’espèce de clocheton au milieu du bâtiment blanc, dans le bandeau en haut de cette page. Notre-Dame, c’est l’église un peu en contrebas, sur la droite. Je vis à proximité de ces deux édifices de la vie vierzonnaise.
Depuis cinq ans, je passe devant ce bâtiment et ses deux pylônes à chaque trajet (aller ET retour) et j’ignore toujours l’utilité de cet endroit !!!
C’est dire si je me sens idiot (sourire) !
Quelqu’un s’est récemment exclamé : “Mais c’est France-Inter !” en voyant la photo. Information confirmée par Wikipédia, que je n’avais pas pensé à consulter plus tôt, sorry (sourire).
Circuler sur les trottoirs de Vierzon (dont la majorité ne sont pas larges) devient de plus en plus problématique pour les piétons, et j’envisage de publier une rubrique sur ce sujet.
Je voudrais qu’on rende les trottoirs aux piétons, et que les véhicules de tout poil cessent de s’y imposer. Tout ce qui a des roues n’a rien à y faire, à mon sens.
Mais pourquoi l’avais-je appelée « Saint-Augustin » ? C’est Saint-Eustache : soupe chaude et accueil souriants pour les SDF de Paris, je l’ai suffisamment fréquentée le soir à 19 heures à partir de 2010 !!!