J’ai désactivé mon compte Facebook, en ne gardant actif que le canal Messenger, qui me permet de dialoguer avec quelques personnes qui me sont chères.
Calculer le coût énergétique de toutes les publicités dithyrambiques qui envahissent nos pages est au-delà de mes compétences, mais j’espère que quelqu’un s’y attaquera un jour. À l’échelle de la planète, je suis persuadé que cela représente des gigawatts annuels, si ce n’est pas chaque jour !
Mes blogs personnels (dont celui-ci, avez-vous remarqué ?) ont toujours été dénués de toute publicité, ce qui prouve que la chose est possible. Ce pourquoi j’ai décidé de tourner le dos aux sites qui participent à tour de bras au réchauffement planétaire, après eux le déluge, n’est-ce-pas ? Leurs auteurs iront tous se réfugier aux Bahamas, ou sur la Lune, tandis que les océans envahiront nos plages et nos greniers …
Rebellons-nous — pacifiquement, mais fermement : fermons nos yeux (et nos portefeuilles) aux sites qui abusent des publicités de plus en plus envahissantes (et souvent incongrues).
Dithyrambiques, quoi !