Entre-temps, j’ai trouvé un début de réponse — et le moyen de parvenir à photographier cette couleur récalcitrante.
La réponse est sur mon blog en anglais, désolé pour les francophones pur jus — dont je fais encore partie moi-même, de temps en temps : je suis un anglophone à éclipse.
J’ai eu de la chance, sans aucun doute. Avoir un peu de chance de temps à autre ne nuit pas : c’est bon pour le moral, et donc pour la santé, in fine — certains se soignent par les plantes, moi j’essaie par la bonne humeur, imbattable niveau prix (sourire).
Maintenant, je n’ai plus qu’à perfectionner la technique !